Tous mes souvenirs me reviennent
Comme ces soirées passées à Vienne
Mes sentiments valsent
Quand la vie me montre ses crocs
Les accusateurs me ravissent vers le haut
Quand vais-je maîtriser ces stupeurs
Moi qui vis sous le poids de mes peurs
La tristesse a laissé une tache indélébile sur mon cœur
Même le créateur fut méprisé
Le bonheur laisse à désirer
Quand les soucis adviennent
Je pleure des larmes diluviennes
Affligé et ému
J’ai longtemps souffert pour être un jour promu
Les mots saignent, s'inclinent en narrant
Mes souffrances diurnes
Ces maux sanglants du gladiateur dans la tribune
Hommes, femmes entrés dans la vie, car vous le devez
Et moi, malgré toutes les souffrances
Que la vie m’a fait endurer
Toujours je m’efforcerai à persévérer dans mon être
Pour vous voir de ma fenêtre jouir sans cesse des délices de la vie.