Des vœux, des souhaits
Corps cadenassé et cloué
Statue sans tête
Ame à la mort se prête.
Ici-bas, je me vois sourire,
Esclave doué et dévoué,
Le rêve étouffé,
Misère inouïe.
La nuit, je dors éveillé
Songeant au rêve
Promis si je sommeillais,
Les nuits s’écoulent et le rêve n’arrive
Pensées amères par milliers.
A la lumière du jour
Mes yeux voient obscur
Mon cœur est semblable à la couleur du café,
A mes pensées, son goût amer