L'oubli de soi imbimbé de mutisme
Lasse nos pas enrobés d'optimisme.
L'émoi,se mêlant dans l'alarmisme,
Entoure de stigmates l'altruisme.
Apparaît alors, une tour immense;
A l'orientation incertain et dense
Sombrant la joie, d'une constance
Où se mue le destin sans évidence.
Emmuré dans cette froideur,
D'un contour aussi aguicheur.
Mon ressort tient de l'ardeur
D'une ivresse en mon intérieur.
Où l'existence tel un regard,
Appelant l'aide à tous les égards.
Comme prélude au départ;
Libère l'étreinte des ammarres.
Survient un glissement d'écrou,
Otant chaîne à nos humbles cous;
Delace de tout verrou,
Le solitaire ver quittant le trou.