Je n'ai plus le choix,
Je vis en surface,
Je suis si peu sans toi!
Oubliée dans ma carapace.
Je pensais à un répit,
Non pour que tu m'oublie.
Au bout de mes nuits,
Je rêve de paradis
Où tu te dechaînes,
Où tu m'enchaîne
De spasmes indécents
En des chants incessants!
La vie s'écoule
En courants qui déboulent,
D'artifices, qui «tourneboulent»,
Comme un serpent nous enroulent.
Ton image je chasse,
Mais le bonheur, je pourchasse.
La haine hélas a egorgé l'amour
Je fait fi des beaux discours.