La robe, sur ton corps, glisse divinement
Dévoile les épaules, la naissance des reins
A mes yeux éblouis, délicieusement
Par l'ivoire de ta chair, les lys de tes seins.
Un lent balancement qui fait vivre tes hanches,
éveil la sombre fleur qui dormait sur ton ventre.
Le voile arachnéen qui voulait la cacher,
Entre tes longues mains vient tomber à tes pieds.
Dénudé, près du miens ton corps vient s'allonger.
La fourche de tes jambes offerte à ton plaisir,
Tes mots à mon oreille avivent mon désir.
Tes plus secrètes envies ton souffle me les dit.
Ton intime jouissance ton corps me la crie,
Et tu dis : Reste en moi et encore aime moi.