Absinthe de pensées dans lequel je me noie,
Boisson pure, oubliée dans un coin de ma tête,
Saoul, je le suis, à longueur de journée, je bois,
Et ma vie, honteuse, n'est que débauche et fêtes.
N'avoir pour compagnon qu'une gargouille, las,
Celle-là même qui crache le temps, pauvrette,
Et rappelle toujours les baves d'autrefois.