Quel bonheur de découvrir l’endroit inconnu !
On dit qu’il aime rouler observant les rues…
Le voyageur veut aller dans un doux silence,
Contemplant la nature de la délivrance.
Surtout dans la cabine de la liberté,
Là ou chaque bouchée d’air frais bien méritée
Enivre son cœur de joie et de doux plaisir
Se posant souvent au centre de ses désirs.
Il va loin se retrouver dans un nouveau coin,
Il va trouver de neuf, de quoi parler demain :
De chaque nouveau visage, de quelque dérapage,
Même de la rivière, comment les gens nagent.
Quelque beau paysage, quelque bel herbage,
Qui donc enfin par ses yeux met son cœur au large
Se berçant des fois dans la volée des oiseaux
Dirigeant ses yeux vers un ciel toujours plus beau.
Pliant ses bagages, ayant la route à refaire,
Riant ces temps où tout existait pour lui plaire.
Quelque bavardage, quelque mot pour l’ouvrage,
Il écrit même dans la marge de la page.
D’une foule maboule et quelques hommes en cagoule,
Presque de tout, même le cas du bain de la poule,
De l’histoire du voyage d’un cœur content,
Il note des choses à dire. C’était marrant.