(Chanson ou poésie pensée pour notre Johnny National)

Je te regarde, j'attends ton éveil.
Devant ton visage, mes yeux s'émerveillent.
Sous mes doigts, ta peau douce comme le satin.
Ho! Comme tu es belle ce matin.

Allongée sur notre lit.
De rivière d'amours, d'hier et d'aujourd'hui.
Encore brûlants, comme un soleil d'été.
De tout nos ébats passés.

Dans mes veines, le feu en coule encore.
Ho! Je t'aime trop fort.
Mais je veux continuer la partie,
Avec toi, j'aime trop la vie.

Je ne suis qu'un homme,
A l'aube de mon automne.
Ho oui! Rien qu'un homme,
A l'aube de mon automne.

Tu es ma joie de vivre, mon amour.
De toi, jamais je ne me lasse.
Et des que point le jour,
Dans mes bras, je t'enlace.

Pouvoir te donner des caresses,
Pleines de mes promesses.
Vers de merveilleux moments d'avenir,
Où nous fuirons l'hiver à venir.

Voir ensemble, l'amour grandir encore.
Le sentir vibrer dans nos corps,
Plein de sa jeunesse d'hier.
Ho! Comme il est fier.

Je ne suis qu'un homme,
A l'aube de mon automne.
Ho oui! Rien qu'un homme,
A l'aube de mon automne.

Chaque jour dans mon coeur,
Rempli de ce bonheur.
Qui dans un souffle, aujourd'hui encore,
Enflamme d'amour nos corps.

Et même si le désir fou prenait fin,
Je te tiendrais la main, comme hier.
Pour t'emmener très loin, sur ce chemin,
Vers un bonheur plein de lumières.

Où mon amour pour toi,sera infini.
Il survivra bien au-delà de ma vie.
Il s'accrochera dans les cieux,
Comme une étoile dans tes yeux.

Je ne suis qu'un homme,
A l'aube de mon automne.
Ho oui! Rien qu'un homme,
A l'aube de mon automne.

Pour toi, comme un homme, je serai fort.
J'affronterai même la mort.
Et quand la nuit pour nous viendra,
Alors mon amour, je guiderai tes pas.

Ho! Je veux pouvoir t'aimer encore, t'aimer demain.
Surtout, ne me lâches pas la main.
Car tu sais, je ne suis qu'un homme,
Al'aube de son automne.
Ho oui! Rien qu'un homme,
A l'aube de son automne.