Aux Roses éternelles
Du regard sombre, contemplées,
Elles s’ouvrent si belles
Parcourant pour toujours l’éternité.
De toutes ces Mères
Dans ce Monde, assassinées,
Elles quittent les pères
Préférant ainsi leur unique Liberté.
Du fin fond du Miroir
À l’ouest des Rêves éternels,
Elles fuient tous les mouroirs
Pour ne vivre que l’Amour maternel.
De la Rose évanouie
Qui n’a jamais osée rêver,
La Rose Trémière inouïe
Offre la tendre épine rabotée.
Cette Rose épanouie
Aux meurtris mille visages,
Parcourt ce Monde prédit
À la recherche d’aucun mirage.
La Vie belle et sincère
Ne demeure qu’une utopie
À ces Roses fées et mères
Sans fin qu’elles ne fussent dans leur vie.
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Mercredi 19 juillet 2017