Jadis de tes lèvres coulaient
Le miel et du lait,
Le parfum de tes fleurs
Embaumait la nature de ses odeurs.
Ton corps etait si attrayant,
Que tu attirais des anges et des assayants.
Tu étais orné d'or et de perle,
D'une beauté pure et naturelle.
Mais les anges n'ont pas su te protéger,
Contre ces assayants exilés
Qui sont venus ravager ton jardin
Et changer a jamais ton destin.
Tu as perdu tous les délices d'antan,
Ton soleil ne brillera plus comme avant,
Et tes fleuves n'auront plus de poissons doré.
Il semble que tu es a jamais courbé.