D'un grand fromader issu de deux racines,
Se casse une branche pleine de fruits.
Dans une vie pleine d'espoir,
Se pointe si vite un grand désespoir.
Comment pourrons nous supporter cette douleur?
À quand l'arrêt de nos pleurs?
Voici une fois de plus une habitude
Qui deviendra pour nous une seconde nature.
Chaque fois que nous pensons à ton passé,
Aussitôt nous imaginons tes désirs brisés.
Il fallait vraiment rester en vie.
Mais lorque nous levons nos têtes vers les cieux,
L'horizon nous oblige à fermer nos yeux.
Et involontairement coulent des larmes
Semblables à l'eau du lac sans vacarme.
Excuse nous de ne pas avoir été à tes côtés
Durant ces moments difficiles qui t'ont conduit jusqu'à la mort.
Comme on aimait si bien t'appeler,
Nous nous reverons quand le seigneur le voudra.
Adieu ami(e)