Toutes ces belles choses que je disais encore,
Quand je ne pouvais pas t’extirper de mon corps,
Toutes ces belles choses je les ai effacées,
Car c’est sûr qu’aujourd’hui, j’ai fini de t’aimer.
Tu es une étrangère que j’ai aimée un jour,
Qui ne compte plus pour moi et cela pour toujours.
Ta vie à son chemin et la mienne un autre,
Qui tous les jours éloignent, aussi bien l’un que l’autre.
Je ne veux te haïr, ni non plus te revoir,
Simplement t’oublier, te croiser sans te voir,
Heureuse ou malheureuse, ce n’est plus mon problème,
Mon cœur bât maintenant, pour une autre qui m’aime.
Tous les jours qui défilent, c’est à elle que je pense,
Qui fait que tous ces jours, tu sors de ma conscience.
La voir la retrouver est mon unique pensée,
Comme celle pour toi est de vite t’oublier.
Ne te ressemble en rien, ni physique ni mental,
Me donne tous les jours, goût à vivre et moral
Que de penser à elle, tout le temps me ravit,
Car plus je pense à elle, plus c’est toi que j’oublie.
Et quand son petit cœur, entre en moi, prend sa place,
Plus il s’épanouit, plus il efface tes traces.
Mon corps en est ravi et lui ouvre la porte,
Pour qu’il soit bien à l’aise, pour qu’il me réconforte.