En venant un matin de beau levé de soleil à Isestma, je fis la
connaissance d'une marguerite aux yeux ténébreux et aux cheveux de
miel qui me fit stopper mon envol charmeur. Elle me transporta par
son sourire adamantin en outre soleil où j'aurais pu mettre pu le bon
Dieu en gage pour une éternité à ses bras. On y croyait voir l'unique
vestige de l'eden sur terre plus chérie de Dieu. La ronce du ciel et
l'oasis de l'enfer. On l'appelle Julie mais je la nommai le trésor du ciel.